L’épisode d’aujourd’hui nous replonge en pleine période de Covid, une période compliquée pour beaucoup d’illustrateur·trice·s et particulièrement ceux et celles qui ont choisi de se spécialiser dans la culture et l’événementiel comme Oriane Marie, qui est mon invitée dans l’épisode d’aujourd’hui.
Discuter avec Oriane m’a un peu rappelé mes débuts d’illustratrice en 2010, peu de temps après la crise des subprimes. À l’époque, je me disais que c’était vraiment une idée saugrenue de me lancer dans un métier artistique alors que l’économie était au ralenti et que les entreprises réduisaient drastiquement leur budget en communication.
Ce genre de situation permet de nous rendre compte de notre résilience et notre capacité à rebondir qui sont des qualités très importantes quand on est à son compte. Pour ma part ça m’a permis de réaliser que peu importe les difficultés et les obstacles qui se mettent en travers de ma route, je pouvais les surmonter. C’était une leçon précieuse dans ma vie de freelance.
Ça nous apprend qu’il n’y a jamais de bon moment pour commencer mais si ça nous tient à cœur il faut le faire malgré tout.
Dans l’épisode du jour, Oriane Marie, une étudiante de la première heure de ma formation “Illustration, l’Atelier”, nous raconte comment en venant de l’éducation nationale, un cadre rigide qui ne lui convenait pas, elle a réussi à se reconvertir dans l’illustration en pleine période de COVID. La période n’était vraiment pas propice pour se lancer, elle partait de zéro, mais elle a su faire preuve de débrouillardise et de résilience pour poursuivre son rêve et travailler avec les clients qu’elle visait dès le début : Télérama, Le Pelerin, affiches de festivals de cinéma, etc.
Rendez-vous dans l’épisode du jour pour écouter Oriane nous parler de sa vision engagée de l’illustration, et de la manière dont ça l’aide à trouver des projets puisqu’elle vit désormais uniquement de l’illustration en travaillant dans un secteur qu’elle a choisi et qui lui tient à cœur.
✨RETROUVEZ ORIANE MARIE SUR LA TOILE
Site internet : https://www.orianemarie-illustration.fr/
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✨DANS CET ÉPISODE, J’AI PARLÉ DE :
Transcription générée par ordinateur (elle peut être incomplète par rapport à l’épisode).
00:00:00:05 – 00:00:26:12
Intervenant 1
Une fille. De plus en plus, j’ai eu des projets qui m’intéressaient, des projets qui me touchent, qui touchent ma sensibilité. C’est ce que je disais au cinéma. Mais tout ce qui est aussi écologie. Je trouve que l’illustration en ce moment, c’est vraiment un métier très sérieux, mais c’est une manière très sérieuse de s’impliquer, de s’engager dans ce qu’on veut que soit le monde et et nous.
00:00:26:14 – 00:00:47:29
Intervenant 1
Ouais, nos convictions, nos engagements, tous ceux qui disent que c’est un métier. Si on entend, on entend souvent ce c’est pas qu’on entend, mais c’est que c’est suggérer que c’est pas un métier vraiment sérieux. En fait, on aime, c’est notre passion et en plus on travaille de chez nous. Moi je le sens très souvent dans mon entourage. Non non, moi je trouve ça vraiment son ancien métier.
00:00:48:00 – 00:00:52:11
Intervenant 1
Il faut défendre son métier très sérieux.
00:00:52:14 – 00:00:57:27
Intervenant 1
Et j’arrive à en vivre. Ça fait peu de temps, mais j’arrive à en vivre, à avoir des projets tout le temps.
00:00:58:04 – 00:01:21:02
Intervenant 2
Bonjour à tous et bienvenue sur l’illustration de podcast, un podcast dédié à tous les artistes passionnés qui rêvent de faire leur place dans le monde de l’illustration. Donc si c’est le cas, bienvenue à toi ! Je m’appelle Élodie, je suis illustratrice, éducatrice et je vis avec mon chien Lina, entre Paris et l’Ile d’Oléron. Je me suis lancée en 2010 dans l’illustration et après avoir travaillé dans l’univers de la mode, la beauté de l’édition et j’en passe.
00:01:21:04 – 00:01:42:28
Intervenant 2
En 2017, je me suis donné pour mission d’être un peu comme votre grande sœur, pour vous transmettre un petit peu ce que j’avais appris sur le terrain, notamment grâce à mes agents. Pour vous donner les clés, les outils, la confiance qui vous permettra de gagner en visibilité et faire votre place dans le milieu de l’illustration. Dans ce podcast, je partage des mini plans d’actions applicables immédiatement pour t’aider à développer ton activité et générer rapidement des revenus de tes créations.
00:01:43:00 – 00:02:01:01
Intervenant 2
Et je partage aussi de la motivation, du soutien et des clés pour t’aider à te sentir plus légitime dans ton travail. Parce que je sais qu’on en a terriblement besoin quand on est artiste. Ma devise On apprend mieux quand le contenu est méthodique et quand le format est beau. Un peu comme avec les Cahiers de vacances. Et c’est la promesse que je te fais à travers tous mes contenus.
00:02:01:04 – 00:02:20:22
Intervenant 2
Alors si tu es créative et que tu as de grands rêves, tu es au bon endroit. C’est parti ! Bonjour à tous, J’espère que vous allez bien. Bienvenue dans un nouvel épisode d’illustration de podcast. Moi c’est Elodie. Aujourd’hui, je. Je vous parle de l’île d’Oléron, donc il y aura peut être un petit écho dans le fond, mais voilà, je suis désolée par avance pour ça.
00:02:20:24 – 00:02:42:27
Intervenant 2
L’épisode du jour nous replonge en pleine période de vide. Une période compliquée pour beaucoup d’illustrateurs et illustratrice, et particulièrement ceux et celles qui ont choisi de se spécialiser dans la culture et l’événementiel. Comme Ariane Marie qui est mon invité dans l’épisode d’aujourd’hui, Discuter avec Oriane m’a un petit peu rappelé mes débuts d’illustratrice en 2010, peu de temps après la crise des subprimes.
00:02:42:29 – 00:03:05:16
Intervenant 2
À l’époque, je me dis mais quelle idée de se lancer dans un métier artistique maintenant, alors que l’économie. Alaric. Les entreprises coupent leur budget, à commencer par leurs budgets en communication. Même temps, je trouve que ce genre de situation permet généralement de prendre du recul et montre souvent aussi notre résilience et notre capacité à rebondir. Si une qualité très importante quand on est à son compte.
00:03:05:19 – 00:03:21:24
Intervenant 2
Pour ma part, ça m’a permis de réaliser que peu importe les difficultés, les obstacles qui se mettent en travers de ma route et bien j’étais capable de les surmonter. Et ça, ça a été pour moi une leçon précieuse dans ma vie de freelance. Ça nous apprend aussi qu’il n’y a jamais de bon moment pour commencer, pour se lancer, mais que ça nous tient vraiment à cœur.
00:03:21:27 – 00:03:41:22
Intervenant 2
Il faut le faire malgré tout. Dans l’épisode du jour à Rennes, Marie, une étudiant de la première heure de ma formation, l’illustration de l’atelier va nous raconter comment, en venant de l’Education nationale, un cadre rigide qu’il ne convenait pas du tout, elle a réussi à se reconvertir dans l’illustration en profitant de la période du code pour se professionnaliser et mettre en place une vraie stratégie.
00:03:41:24 – 00:03:59:00
Intervenant 2
La période n’était vraiment pas propice pour se lancer. Elle partait de zéro, mais ça ne l’a pas empêchée de poursuivre son rêve et d’arriver aujourd’hui à travailler avec les clients qu’elle visait dès le début. Elle fait aujourd’hui des affiches pour des festivals de cinéma. Elle a travaillé pour Télérama, Le Pèlerin. Rien n’est débrouillarde et elle a su faire preuve de résilience.
00:03:59:02 – 00:04:15:00
Intervenant 2
Elle va nous raconter comment ça s’est passé à ses débuts pour elle. Elle va aussi nous parler de la niche qu’elle a choisie, de sa vision engagée, de l’illustration et de la manière dont ça l’aide à trouver des projets, puisqu’elle vit désormais uniquement de l’illustration en travaillant dans un secteur qu’elle a choisi et qui lui tient à cœur.
00:04:15:02 – 00:04:18:23
Intervenant 2
Ok, je vous en dis pas plus et je vous laisse découvrir l’épisode. Bonne écoute.
00:04:18:26 – 00:04:20:22
Intervenant 3
Curieuse. Comment vas tu ?
00:04:20:25 – 00:04:21:27
Intervenant 1
Et ça va très très bien.
00:04:21:27 – 00:04:39:09
Intervenant 3
Et toi Ma très très bien, Je vois que tu es dehors et avec ce beau soleil. T’as bien raison de profiter. Ben oui, là il y a à peu près 28 degrés hein, je pense. Enfin, je ne sais pas toi, mais moi c’est un peu partout pareil partout. Oui, ça y est, il s’est installé pour de bon.
00:04:39:14 – 00:04:41:19
Intervenant 1
Ça fait, on en profite, on essaye.
00:04:41:21 – 00:04:42:17
Intervenant 3
Puis on va pas se plaindre.
00:04:42:17 – 00:04:45:19
Intervenant 1
Surtout, non ?
00:04:45:21 – 00:05:04:05
Intervenant 3
Bah merci du coup de pot d’avoir accepté ma petite invitation. Nous avons pour commencer pour future ça, pour mes petites interviews. Pour les personnes qui ne connaissent pas, est ce que tu peux nous parler un petit peu de toi Nora Plus que ton parcours ? Euh voilà, nous raconter un petit peu ce que tu fais.
00:05:04:08 – 00:05:26:26
Intervenant 1
Euh oui. Donc je m’appelle Auriane, c’est mon prénom. Euh. J’ai un parcours un peu ou pas très linéaire, un peu chaotique. Je ne suis pas arrivée à l’illustration comme ça. Je suis pas une illustratrice comme ça, je vais pas raconter tout dans les détails, mais en gros, comme je pense beaucoup d’illustrateurs, je dessine depuis que je suis toute petite.
00:05:26:28 – 00:05:57:09
Intervenant 1
C’est ma passion. J’étais inscrite dans un cours de peinture de neuf ans jusqu’à mes 18 ans. On sent que j’ai adoré, donc je suis vraiment entrée par la peinture. Ensuite, je suis donc. J’ai fait les beaux arts après le bac, j’ai fait trois ans aux Beaux-Arts, ça m’a paru un peu obscur. Alors c’était chouette parce qu’on touchait à tout, on faisait de la sculpture, la peinture, de l’installation, euh de tout sauf peut être de l’illustration et du dessin.
00:05:57:16 – 00:06:04:22
Intervenant 1
On m’a poussée en plus, c’est pas vraiment à.
00:06:04:24 – 00:06:26:14
Intervenant 1
À penser un métier ou à penser quelque chose, à penser. L’art appliqué, en tout cas, c’était vraiment. Il fallait explorer un maximum. Mais à aucun moment on nous parlait de la vie, la vie professionnelle. Et donc j’ai quitté les Beaux-Arts un peu en me demandant ce que j’avais fait.
00:06:26:16 – 00:06:50:29
Intervenant 3
C’est pas fait pour tout le monde Moi j’ai pas fait les Beaux-Arts, mais bon. J’avais fait l’option arts plastiques au lycée et pour le coup, Chupin, je trouvais ça bien dans un sens parce que ça ouvrait à l’art, chose que moi personnellement je ne connaissais pas du tout. Mais c’est vrai que quand toi tu veux dessiner et que t’aimes par exemple les Disney ou Central Dessin de manière générale, ben tu dis du coup c’est bonnard quand je peux pas dessiner PAN Je.
00:06:51:01 – 00:06:55:04
Intervenant 1
Non, on n’apprend pas à dessiner aux Beaux-Arts et on apprend pas un métier surtout.
00:06:55:06 – 00:06:55:26
Intervenant 3
Ouais.
00:06:55:28 – 00:07:17:08
Intervenant 1
Moi j’avais l’impression de ne pas avoir du tout appris le métier. Ceci dit, j’ai appris vraiment à penser, penser peut être d’une manière différente, prendre de la perspective sur plein de choses, m’ouvrir à plein de choses. Et je ne regrette pas d’avoir fait les Beaux-Arts à l’époque. Je me suis un peu demandée et maintenant je vois tout ce que ça m’a amené.
00:07:17:10 – 00:07:40:23
Intervenant 1
Mais c’est que moi, je suis sortie des Beaux-Arts et je suis passionnée de cinéma. J’avais envie de continuer mes études, donc j’ai enchaîné avec les études de cinéma et l’éducation à l’image par fac. J’ai beaucoup aimé la fac aussi, même si c’était très différent. Un art beaucoup plus académique. Ça m’a permis de voyager aussi, de partir un peu à l’étranger.
00:07:40:23 – 00:07:58:21
Intervenant 1
Je suis parti aux Etats-Unis en m’installant. Ensuite, je partais au Canada pour un stage et ça m’a aussi beaucoup appris sur la manière d’enseigner qui est très très limitée aussi, très différente de la France. C’est pas du tout, c’est pas un enseignement.
00:07:58:23 – 00:08:00:28
Intervenant 3
Puisque tout le monde c’est.
00:08:01:00 – 00:08:01:03
Intervenant 1
Du.
00:08:01:06 – 00:08:02:23
Intervenant 3
Coup on se rend pas compte cinq ans.
00:08:03:00 – 00:08:30:27
Intervenant 1
Ouais voilà un chien, il faut vraiment enlever tous les complexes et puis toutes les questions sont possibles. Alors qu’en France je me souviens quand on connaissait pas quelque chose, un artiste ou un cinéaste, on se faisait taper sur les doigts. Donc ça, ça m’a vraiment ouvert quelque chose. Et donc là, après, je suis j’ai trouvé du travail en cinéma, j’ai bossé dans l’exploitation cinéma, un peu de la danse, la distribution aussi, la médiation et c’est pas facile.
00:08:30:27 – 00:08:51:12
Intervenant 1
Bambi Moi j’étais dans un endroit qui me plaisait pas vraiment, j’étais en Mayenne. Euh je voulais me rapprocher de Lyon parce que j’avais fait mes études de cinéma à Lyon et je sais pas pourquoi, je sais pas ce qui m’a pris, mais j’ai passé le concours de prof des écoles, peut être moins assuré parce que j’aimais aussi, j’aimais transmettre.
00:08:51:14 – 00:09:05:06
Intervenant 1
Donc j’ai passé le concours de prof des écoles et là c’était la cata. Je me suis retrouvée dans l’Education nationale, j’ai. Il suis resté après quelques années qui me correspondait pas du tout. J’avais l’impression de.
00:09:05:08 – 00:09:08:05
Intervenant 3
Ne savez quoi comme élève. C’était quel âge.
00:09:08:12 – 00:09:27:13
Intervenant 1
Que j’ai eu la petite section ? Ce qui était assez chouette parce que je pouvais aller faire la patrouille avec, Je pouvais faire l’arc ainsi que pas mal après j’ai eu de l’Ulysse donc donc des enfants en situation de handicap. C’était vraiment très lourd, passionnant. J’ai appris plein de choses, mais très lourd parce qu’on est pas forcément très clairement.
00:09:27:16 – 00:09:49:25
Intervenant 1
Et puis le cadre très rigide de l’Education Nationale en fait n’allait pas, pas du tout. J’ai été très malheureuse et ça m’a servi. Je me suis rendue. Qu’est ce que je veux faire dans ma vie ? Je veux pas faire ça ! Et qu’est ce que je veux faire vraiment du reste de ma vie ? Et en fait, l’illustration s’est imposée très très rapidement.
00:09:49:27 – 00:10:17:22
Intervenant 1
Donc j’ai tout quitté. J’ai quitté l’Education Nationale qui est quand même quelque chose en tenant compte bien ducation nationale. Les gens me regardent bizarrement. Et donc j’ai tout quitté. C’est là que j’ai trouvé ta formation ou ce que j’avais besoin de nous raccrocher à quelque chose. C’est pas facile de partir. Et puis partir comme ça et sans rien, sans son filet et sans quelque chose à quoi se raccrocher.
00:10:17:22 – 00:10:27:18
Intervenant 1
Donc j’ai eu la chance en fait que tu commences la formation. Je pense que c’était la première fois que tu lances la formation. C’est en 2000 2021.
00:10:27:20 – 00:10:31:24
Intervenant 3
- Oui, j’ai lancé la première session en septembre 2000.
00:10:31:26 – 00:10:55:06
Intervenant 1
Sept, ça faisait 2020 un de cordes, même pas un deux. Et vraiment grâce à ça, j’ai pu me lancer parce que sinon, je ne savais pas par où commencer, par quel bout m’y prendre. Et puis je me sentais aussi seule. J’avais une très bonne amie en fait. Ma meilleure amie qui était déjà illustratrice. Donc c’est vrai que je me suis Alma.
00:10:55:06 – 00:11:07:20
Intervenant 1
Elle m’a beaucoup aidée, Elle m’a donné des petits conseils mais j’avais vraiment besoin de. Cette formation est arrivée vraiment à point nommé pour moi.
00:11:07:22 – 00:11:22:02
Intervenant 1
Je. Pense vraiment que c’était la formation pour me lancer vraiment de manière professionnelle et pas juste faire mes dessins dans mon coin et pas savoir quoi en faire. Un peu comme aux Beaux arts.
00:11:22:05 – 00:11:44:25
Intervenant 3
Bah merci pour ce mot, ça me va, ça me touche et c’est chouette. Je suis contente justement de pouvoir aider des personnes qui dans ta situation, qui justement avaient besoin d’un petit coup de pouce et d’être guidées. En fait. Maintenant, est ce que tu peux nous dire depuis combien de temps et illustratrice, Comment tu as démarré ? En quelle année précisément parce que tu nous as quitté.
00:11:44:25 – 00:11:51:09
Intervenant 3
T’avais suivi la formation donc en 2020. Mais du coup, comment ça s’est passé après ? Et est ce que tu peux nous dire si tu vis aujourd’hui de tes créations ?
00:11:51:10 – 00:12:22:11
Intervenant 1
Et donc j’ai commencé ce ça en 2020 en plein cogite, c’est pas forcément l’idéal. Si moi je voulais vraiment commencer par un tout ce qui a été ma passion, en fait, tout ce qui était culturel, le cinéma, faire des affiches de festivals, c’est pas du tout la période dans l’année qui revient, c’est un. Mais j’en ai profité pour vraiment essayer de me trouver un style.
00:12:22:14 – 00:12:56:07
Intervenant 1
D’avoir des illustrations vraiment plus professionnelles que ce que j’avais avant de vraiment réfléchir en fait. Illustration et mes dessins comme avec une direction en fait. Vraiment réfléchir au fond ce que je voulais transmettre, comment, avec quelle matière j’utilise étant donné que je ne. La peinture. J’utilise beaucoup de peinture. Je fais d’abord beaucoup de beaucoup de peinture, de la vraie peinture, pas de la peinture digitale, de l’encre.
00:12:56:10 – 00:13:22:05
Intervenant 1
J’utilise beaucoup de matière, je prends en photo des matières, des un peu tout ce que je trouve, un qui me plaît, que j’assemble et ensuite je rassemble avec ma tablette et mon ordinateur. Donc numériquement. Mais voilà, je me suis vraiment cherché comme ça. J’ai pris le temps de faire ça et c’est surtout la formation qui m’a appris de prendre le temps et de vraiment aller au fond des choses.
00:13:22:05 – 00:13:46:27
Intervenant 1
En fait. Et quand j’ai senti que j’étais prête, j’ai commencé à démarcher. C’est une chose assez même pareille aux Beaux arts, on nous apprend pas ça du tout. Donc j’ai apprécié un peu une enseigne, ça. J’ai beaucoup aimé d’ailleurs l’interview que j’avais lu, je parle de ta directrice de dame, de ton agent semble et d’une directrice artistique aussi.
00:13:47:00 – 00:14:05:13
Intervenant 1
Ça m’avait aidé à voir puisque c’est un milieu qu’on connaît très peu en fait, à voir ce que ces personnes recherchaient et attendaient. Et je me suis lancée. J’ai envoyé des mails, des mains, des mains et puis ça a commencé à.
00:14:05:15 – 00:14:26:19
Intervenant 1
Moi, j’ai commencé à voir mordre, à mordre et j’ai vraiment osé. En fait, comme ce que je disais, c’est en ce moment, il y a le sentiment d’imposture très très fort. Et puis j’avais déjà eu énormément quand j’étais en sous titre. On nous sort de temps en temps un site, j’avais tout le temps sentiment et là je l’avais aussi, mais peut être un peu moins.
00:14:26:19 – 00:14:58:15
Intervenant 1
Je me sentais plus à ma place et en fait ça passe ou ça casse, peu importe, c’est pas grave si ça passe pas, mais les gens répondent pas ou parfois les gens répondent très gentiment. D’ailleurs le projet n’est pas possible, mais j’ai pas mal de réponses négatives, même encore assez sympa. Puis de plus en plus, j’ai eu des projets qui m’intéressaient, des projets qui me touchent, qui touchent ma sensibilité, un toucher, ce que je disais cinéma, mais tout ce qui est aussi écologie.
00:14:58:17 – 00:15:25:01
Intervenant 1
Je trouve que l’illustration c’est un point. C’est vraiment un métier très sérieux, mais c’est une manière très sérieuse de s’impliquer, de s’engager dans ce qu’on veut que soit le monde et et nous. Ouais, nos convictions, nos engagements, tous ceux qui disent que c’est un métier. Si on entend, on entend souvent ou c’est pas qu’on entend, mais c’est que c’est suggérer que c’est pas un métier vraiment sérieux.
00:15:25:01 – 00:15:44:18
Intervenant 1
En fait, on aime, c’est notre passion et en plus on travaille de chez nous. Moi je le sens très souvent dans mon entourage. Non non, moi je trouve c’est vraiment sympathique, Il faut défendre son métier très sérieux. Alors. Ah et j’arrive à en vivre, ça fait peu de temps, mais j’arrive à en vivre, à avoir des projets tout le temps.
00:15:44:19 – 00:15:58:13
Intervenant 3
Mais c’est trop chouette parce que tu peux nous parler un petit peu plus en détail de ta clientèle, avec quel type de clients tu travailles en général, quels sont les projets les plus courants ? On va dire que tu peux avoir à réaliser.
00:15:58:15 – 00:16:35:21
Intervenant 1
Euh. J’ai beaucoup de projets qui viennent des du service public, mairie, commune, département. Là dernièrement j’en ai eu beaucoup des communes qui me demandent des affiches pour des événements, des cartes de vœux, tout type de projets pour leur magazine aussi, l’Agence de bassin, en partenariat avec un nouveau magazine qui va apparaître avec la métropole de Besançon. Je les avais contactés il y a deux ou trois ans et ils m’avaient jamais répondu.
00:16:35:21 – 00:16:57:22
Intervenant 1
Et euh. Je crois que la chargée de communication directrice de communication avait noté mon nom quelque part. Et en fait, elle a ressorti au moment de créer ce magazine et donc j’ai eu la bonne surprise d’être là. Je fais leurs couvertures, je fais des portraits et ça c’est chouette quand on démarche en fait, où il faut pas se dire que la semaine prochaine ça va donner quelque chose.
00:16:57:23 – 00:17:06:17
Intervenant 1
Parfois c’est un livre dans la presse, un livre, mais souvent c’est vraiment au long terme et on peut pas s’en.
00:17:06:19 – 00:17:08:20
Intervenant 3
Rendre compte.
00:17:08:22 – 00:17:36:16
Intervenant 1
Et vraiment planter des graines. Un Par exemple dans la presse, j’ai bossé dans un monde pour Télérama, Le Pèlerin Magazine, un magazine belge naturel aussi. Et ça, par contre, c’est vraiment du tac au tac sont tombés au bon moment, au moment où ils ont besoin de quelqu’un. Et si nous nous intéressons à un bouquin, une sélection de l’illustration correspond, un titre, cherche ou thème, etc.
00:17:36:19 – 00:17:46:27
Intervenant 1
Et parfois, c’est le lendemain, ils nous appellent une Charente pour le bruit alentour dans trois jours et une finale pour moi dans une semaine. Donc là faut être très réactif.
00:17:47:00 – 00:17:51:19
Intervenant 3
Quand tu dis que t’en vas t’en book, c’est que tu l’envoies en pdf. Oui, j’en reçois une sélection de.
00:17:51:19 – 00:18:09:03
Intervenant 1
L’édition attachée au mail. Ils disent bonjour d’aller voir mon Instagram et mon site internet. Mais j’ai remarqué que quand j’ai envoyé mon book avec quelques illustrations vraiment ciblées, ça marche un peu. Télérama C’est comme ça que j’ai eu Le Pèlerin aussi.
00:18:09:03 – 00:18:21:06
Intervenant 3
Du coup ils ont tout de suite en plus, si c’est ciblé, bah ça, ça leur parle plus. Et oui, et l’effort aussi que t’as fait de leur proposer des choses vraiment ciblées. Sa signature ? Chouette je pense. On est client.
00:18:21:09 – 00:18:42:29
Intervenant 1
C’est vraiment un travail très différent. La presse ça va vite donc les services sont pas que j’aime bien, mais j’aime bien aussi avoir le temps de réfléchir. La maison cheveux, ça fait deux ans que je fais l’affiche pendant des semaines. Cinéma et nature Environnement à Grenoble. On a à peu près quatre ou cinq mois pour penser et ça laisse le temps d’avoir quelque chose de très abouti.
00:18:42:29 – 00:18:44:00
Intervenant 1
J’aime bien aussi.
00:18:44:03 – 00:18:47:15
Intervenant 3
J’ai une copine qui habite à Grenoble, je. Tu sais, en.
00:18:47:18 – 00:18:50:12
Intervenant 1
Stage festival qui a lieu en novembre tous les ans très.
00:18:50:12 – 00:18:52:17
Intervenant 3
Bien au Métropolis.
00:18:52:19 – 00:18:53:27
Intervenant 1
Et la nature.
00:18:54:00 – 00:19:08:23
Intervenant 3
Mais en fait si on résume. Alors tu me diras si t’es d’accord avec ça, mais on peut dire que t’as ta cible, c’est quand même c’est l’univers de la culture en gros. Alors tu parlais d’écologie aussi, mais quand tu définirais, toi t’as.
00:19:08:25 – 00:19:10:11
Intervenant 1
Je dirais culture. Oui, complètement.
00:19:10:18 – 00:19:32:17
Intervenant 3
Ok. Alors est ce que c’est un choix volontaire de ta part ? Fin j’ai cru comprendre que oui. Est ce que tu penses élargir plus tard cette cible quand tu seras. Je ne sais pas que tu auras quelques années encore devant de plus devant toi et que tu voudras toucher par exemple, un public plus large.
00:19:32:20 – 00:20:05:12
Intervenant 1
Alors mon rêve, je n’ai pas encore un complice du monde. C’est bien d’avoir des rêves, c’est de ne pas aller dans l’illustration pour enfants, dans l’édition. Mais là, on me demande toujours à être illustratrice. Je fais des livres pour enfants à chaque pas du tout. J’aimerais vraiment faire la couverture de livres de romans pour adultes. C’est quelque chose que j’ai jamais réussi, je sais bien, mais j’ai jamais encore une seule à obtenir sur ce créneau.
00:20:05:14 – 00:20:09:06
Intervenant 1
Et je pourrais me dire que c’est encore la culture.
00:20:09:09 – 00:20:11:03
Intervenant 3
Moi je pense que tu as un bout qui s’y prête bien en tout cas.
00:20:11:09 – 00:20:25:00
Intervenant 1
Oui ben c’est vraiment mon amour pour moi. C’est ma prochaine étape. Après je suis très contente pour l’instant avec le monde que j’aime, mais c’est vrai que toucher l’édition j’aimerais là.
00:20:25:02 – 00:20:30:11
Intervenant 3
Et du coup, est ce que tu penses à la publicité par exemple, faire du packaging, des choses comme ça, Est ce que c’est un truc qui t’attire ou pas du tout ?
00:20:30:13 – 00:20:34:09
Intervenant 1
J’ai jamais vraiment pensé mais pourquoi pas ? Pourquoi pas ?
00:20:34:12 – 00:20:35:28
Intervenant 3
C’est pas fermé.
00:20:36:00 – 00:20:56:24
Intervenant 1
Non, non, non, je ne suis pas fermée. Mais quand on est illustrateur, il faut pas être fermé à parti. Si il faut être fermé à des projets, un. Qui nous parle pas ou politiquement ? Qui nous a légèrement mis en avant ? Des propositions là où politiquement le client dans son correspond pas.
00:20:56:26 – 00:21:07:03
Intervenant 1
À mes convictions, à mes valeurs. Donc c’est avant tout pour être intransigeant par rapport à ça. Je me suis vraiment dit pourquoi pas ? Le packaging selon évidemment aussi le produit à mettre en valeur.
00:21:07:06 – 00:21:37:16
Intervenant 3
Mais du coup, ça te plaît se donner des idées et peut être que ça va germer. Des radoteurs de mes en tête après. Est ce que tu peux nous parler un petit peu davantage de ta vie d’avant quand t’étais donc dans l’éducation nationale et nous expliquer si la vie que tu as aujourd’hui correspond aux attentes que tu avais par rapport à l’idée que tu t’en faisait quand tu étais dans cette vie qui ne correspondait pas, comme tu l’as dit tout à l’heure.
00:21:37:18 – 00:21:42:04
Intervenant 3
Est ce que, en gros, est ce que ton activité aujourd’hui te permet d’être plus épanoui qu’avant ?
00:21:42:06 – 00:22:03:03
Intervenant 1
Un grand oui dans ma vie d’avant. Mais c’était en fait, c’était terrible où je parlais à des gens, ils demandaient ce que je faisais et je répondais que j’étais un style et je me disais mais je leur montre mais c’est n’importe quoi, je suis pas du tout anti machine, je fais du dessin. Vraiment. C’était pas du tout cohérent.
00:22:03:03 – 00:22:04:13
Intervenant 3
C’est intéressant ça.
00:22:04:15 – 00:22:30:14
Intervenant 1
Avec ce que j’étais. J’étais vraiment très très malheureuse. J’étais misérable. Je sais pas comment j’ai pu tenir plusieurs années comme ça puisque ça me correspondait pas. Et ça n’a pas été facile parce qu’on a tout quitté, qui est un confort en plus. l’Éducation nationale, c’est l’assurance d’avoir un salaire qui tombe toujours le même qui est bien extraordinaire mais qui vraiment salaire.
00:22:30:17 – 00:22:57:28
Intervenant 1
Et puis d’avoir un métier jusqu’à la fin de sa vie, un et puis une retraite, ok, pas ça non plus, mais quand même, ça fait réfléchir. Forcément. On réfléchit. Mais compte. Je suis parti sans. C’était un soulagement terrible. Un soulagement. Terriblement. Un soulagement. Vraiment un soulagement. Si bien que je cherche tous les trucs, les bains de rentrée encore le dimanche soir.
00:22:57:29 – 00:23:39:15
Intervenant 1
Mais c’est génial avec mon mari. Mon dieu, je pars, je rentre à l’école, je m’installe sur. Et heureusement que j’avais mon mari à cette époque pour me soutenir moralement. Est ce que c’est pas des transitions qui sont faciles à. C’est vraiment un gros saut vers l’inconnu. Heureusement, j’avais. J’ai eu ta formation et un. D’ailleurs grâce à des formations, on avait un groupe Facebook et dans ce groupe Facebook, j’avais vu qu’une fille suivait la même formation en même temps à Lyon, à Lyon n’est pas et on s’est rencontrés et en fait on est devenu, on est devenus copines.
00:23:39:18 – 00:23:48:03
Intervenant 1
Virginie Minot qui fait déjà des super choses, elle a, elle est partie dans l’illustration de l’arbre généalogique avec une.
00:23:48:10 – 00:23:49:06
Intervenant 3
J’adore.
00:23:49:06 – 00:24:11:22
Intervenant 1
Spécialisée là dedans. Elle en a fait plus que ça, a fait autre chose de sympa. Elle est très douée et ça marche bien pour elle. Et ça nous a permis aussi de voir qu’on était pas seuls mais de suivre ta formation ensemble et puis après de faire du télétravail, du coworking ensemble dans les cafés, ça c’était vraiment, vraiment chouette.
00:24:11:25 – 00:24:45:09
Intervenant 1
C’est important de s’entourer un. Moi, j’avais peur de la solitude. On passe de l’éducation nationale quand on est dans une. On a plein de collègues, un quelque chose de plutôt solidaire. Un tu. C’est sûr que c’est un métier solidaire quand on travaille chez soi, mais ça devait être un métier en fait, une très riche de contacts sociaux. En fait, c’est Il y a plein de collectifs, il y a plein de manières en fait de se rencontrer comme manière de travailler ensemble à Lyon, Je trouve.
00:24:45:09 – 00:25:14:06
Intervenant 1
Toutes les semaines, on se retrouve avec une copine. Pareil pour pour travailler ensemble, s’échanger un peu nos types, nos problèmes, se soutenir, se montrer aussi, se poser. Ce monsieur c’est important. Ne pas rester seul avec un mec. Ses questions, ses illustrations. Donc ça c’est vraiment quelque chose que tu. Je trouve. J’incite en tout cas les autres illustrateurs à faire, ça va pas rester seul chez soi, J’encadre au moins ça.
00:25:14:06 – 00:25:25:18
Intervenant 3
Les mes. Moi je sais que j’adore, mais par contre ça n’empêche pas de contacter des gens en ligne etc et de sortir de chez soi je veux dire. Voilà, bien sûr, il ne faut pas rester.
00:25:25:20 – 00:25:28:22
Intervenant 1
En contact avec plein de gens quand même. Oui, j’aime bien l’idée.
00:25:28:22 – 00:25:44:02
Intervenant 3
Oui voilà, après moi vais essayer par exemple d’aller bosser dans des cafés, c’est pas trop mon truc parce que toi tu vas le fait de ramener plein de choses et tout machin je commence à bosser en fait t’as perdu 1 h et puis après j’ai un peu de mal à me concentrer dans un que c’est pas forcément fait pour moi.
00:25:44:02 – 00:25:53:14
Intervenant 3
Moi j’aime bien au calme pour travailler mais par contre par contre j’ai un chien donc je fais autre chose. Mais c’est pas fait pour tout le monde.
00:25:53:14 – 00:26:15:22
Intervenant 1
Mais à l’époque oui, ça dépend de chacun la chienne je pense. LN Donc c’est autre chose, une vie moins hum, moins riche socialement. On va dire que quand j’étais sur Lyon, mais, mais je le dis, il y a encore plein de gens autour de moi et c’est en tout cas c’est important pour moi. Il ne faut pas dire que c’est un métier solitaire quand même.
00:26:15:22 – 00:26:34:18
Intervenant 3
Alors du coup, j’avais envie qu’on parle un petit peu de ton expérience dans la formation, on va dire un petit peu parler pour ceux qui savent pas du tout de quoi on parle de vie là on parle de ma formation Illustration l’Atelier qui est une formation à destination des illustrateurs qui souhaitent développer et faire décoller leur activité dans l’illustration commerciale.
00:26:34:20 – 00:26:48:20
Intervenant 3
Donc petit peu répondre à cette question, mais je voudrais te demander où tu en étais plus précisément dans ton projet de l’illustration avant de t’inscrire. Quel genre de questions tu te posais à ce moment là ? Est ce que tu avais des blocages particuliers ? Est ce que tu peux nous parler de ça ?
00:26:48:22 – 00:26:51:22
Intervenant 1
Alors, aussi loin que je m’en souvienne.
00:26:51:25 – 00:26:53:04
Intervenant 3
Ça commence à faire.
00:26:53:06 – 00:27:15:25
Intervenant 1
Même ici. En fait, j’avais toutes les questions possibles et imaginables avant de commencer un sport, avant de commencer un métier, une manière professionnelle. J’ai. Franchement, je savais, je savais rien. C’est pas que je savais rien, mais je savais dessiner. C’est à peu près tout. J’aime dessiner, mais je savais que je voulais en faire. Mon métier. Je voyais, je voyais comment ça se passe.
00:27:15:27 – 00:27:51:29
Intervenant 1
Pendant la première année, je voyais comment ça se passait, mais. Je savais pas par quel moment prendre et ça m’a vraiment permis de structurer dans ma manière de faire en fait, de savoir par où commencer, Commencer par trouver mon style et ensuite comprendre aussi ce que j’aimais. Donc je suis allé voir et aller voir beaucoup de choses. Non pas que des illustrateurs, mais des peintres, la sculpture, la photo.
00:27:52:01 – 00:28:22:00
Intervenant 1
Ça m’a permis de comparer que j’aimais, quelles couleurs j’aimais, pourquoi, qu’elles ne sont jamais, quelles textures, comment moi me l’approprier. Donc tout ce qui était vraiment illustration. Puis après ça m’a permis de me professionnaliser un. Voilà, dans le démarchage, écouter tous ces professionnels qui parlaient du milieu que je connaissais pas. En fait, Milieu ne connaissait pas.
00:28:22:03 – 00:28:49:15
Intervenant 1
Et puis aussi d’avoir une communauté. J’avais cette personne que j’aime, cette copine que j’ai rencontré, mais le plein d’autres en fait. Je me suis dit qu’on se partageait, on se partageait. Nous on y trouvait. En tout cas, nous, il y avait des challenges, on se partageait une illustration. Il y en a qui ont signé des choses. En tout cas, j’ai trouvé un truc la communauté faisait qu’on avancer ensemble.
00:28:49:17 – 00:29:03:20
Intervenant 1
Découvrez aussi les progrès des autres. C’est vraiment ce qui m’a permis de. Si ça a été un pied de. Manger un moyen de me lancer ?
00:29:03:24 – 00:29:06:15
Intervenant 3
Ah oui, c’est pas le mot non plus. La question.
00:29:06:18 – 00:29:10:11
Intervenant 1
En tout.
00:29:10:14 – 00:29:22:26
Intervenant 1
Une. Sinon, voilà les questions que je me posais avant, c’était je pense un peu comme tout le monde sait comment décrocher des contrats professionnels et j’y j’ai trouvé ma réponse. Même avec cette formation.
00:29:22:28 – 00:29:39:07
Intervenant 3
Ben justement, j’allais te demander est ce que t’as rencontré des problèmes particuliers au démarrage de ton activité avant justement que tu trouves tes premiers clients ? Est ce que tu avais des problèmes vraiment précis, particuliers ? Et si oui, quelles solutions tu as réussi à mettre en place pour les contourner ?
00:29:39:09 – 00:30:04:13
Intervenant 1
Mais comme je te disais, c’était un peu particulier, c’est de cogiter. Oui, c’est. Moi j’ai eu pas mal d’heures sur Mulhouse parce que c’est au tout début en stand by. Au fur et à mesure en fait, j’ai précisé mes devis parce qu’au départ, mes deux vies étaient très larges et préciser des choses ou plutôt ne préciser rien du tout.
00:30:04:15 – 00:30:31:22
Intervenant 1
Ce qui fait que même un peu, un peu bouffer une plus Nucingen plus j’ai mis des mes conditions en fait, ce qui fait que j’ai pu mener, j’ai pu définir du temps, un certain temps ou un mes illustrations, je connais pas. En fait, on a pas idée de combien de temps ça peut prendre. Et plus ça va, plus j’ai précisé les choses et c’est comme ça.
00:30:31:23 – 00:30:47:19
Intervenant 1
Je pense qu’on peut arriver à en vivre en fait. On peut, on peut pas accepter dix projets en même temps si on n’a pas fixé une limite, je dirais. C’est avec l’expérience que j’ai réussi à comprendre ça force.
00:30:47:19 – 00:31:07:03
Intervenant 3
T’as réussi à savoir combien de temps ? Prenez par exemple une illustration avec un paysage, comment ? Pour combien ? Prenez pas des personnages. Je sais pas si tu fais beaucoup de personnages d’ailleurs, mais oui, à force de réussir à mieux comprendre. Et du coup ça te permet aussi par rapport aux devis de mieux les définir, d’imaginer.
00:31:07:06 – 00:31:14:06
Intervenant 1
Oui, et puis de définir aussi le nombre de modifications à chaque étape est que ça c’est pareil, c’est un gros piège.
00:31:14:09 – 00:31:29:19
Intervenant 3
Oui oui, un piège c’est de ne pas définir ça. Et du coup, c’est sans. Donc attention les amis, s’il y a des choses que tu n’as pas envie de dessiner ou avec lesquelles tu es moins à l’aise, et si oui, comment est ce que tu parviens à surmonter le problème ?
00:31:29:21 – 00:31:44:00
Intervenant 1
J’ai eu dernièrement où une affiche de festival dans. Le cinéma où on m’a demandé de dessiner beaucoup de.
00:31:44:03 – 00:32:29:04
Intervenant 1
d’Immeubles Un maximum de maisons, en tout cas de construction d’architecture. Une architecture et pas une architecture inventée. Pas des choses. Inventer des choses réelles ou je faisais plus savant, non imaginaire, mais c’est moi qui les montrer du. Et voilà. Et là on m’a demandé de représenter en certain village en sortant certaines maisons et ça m’a posé quand même un peu sur ce débat, ce débat qui se passe comme ça, où et surtout après une photo quand on est pas sur le lieu, une batterie qui est une chambre du tout ou j’ai passé énormément de temps, j’ai pris quelques quelques cours sur l’architecture.
00:32:29:06 – 00:32:43:10
Intervenant 1
C’est pas en ce machin. Je pense qu’on a de toute façon toujours besoin de se remettre à jour sur certaines certaines données. Et puis j’ai arpenté au mieux si tu nous vois.
00:32:43:10 – 00:32:47:22
Intervenant 3
Du coup tu as trouvé que c’était plus difficile de dessiner des bâtiments d’après photos.
00:32:47:24 – 00:32:53:06
Intervenant 1
Oui parce qu’on me demandait pas de dessiner la photo en fait, la photo c’était juste un indicateur.
00:32:53:09 – 00:32:59:19
Intervenant 3
Mais après tu peux partir, Tu peux peut être trouver d’autres photos sur le net. Ou alors à moins que ça soit pas des trucs hyper connus et que.
00:32:59:21 – 00:33:35:06
Intervenant 1
À chaque fois que ce genre de truc, ouais oui, même ça en fait un redéfini, quelque chose qui me plaisait. J’avais donc une base de le dessin, l’architecture c’est un challenge. Du coup avec la mise à niveau, je pense qu’on aura toujours un challenge. C’est une demande de son acceptation, c’est pas une valeur. Si j’en parle de ce monde, d’en parler là, nous ne sommes pas un peu particulier non abordé en disant que j’avais déjà créé la fiche avec l’intelligence artificielle ?
00:33:35:08 – 00:33:40:06
Intervenant 3
C’était quoi ? C’était un croquis ou c’était vraiment au départ ce qui comptait sortir ?
00:33:40:08 – 00:33:46:05
Intervenant 1
Non, non, non. En fait, ils se sont servis l’intelligence artificielle pour moi et maintenant.
00:33:46:07 – 00:33:47:28
Intervenant 3
Il y en a plus en plus qui font ça.
00:33:48:00 – 00:34:12:22
Intervenant 1
Des clients étaient très étonnés et c’était la première fois que maintenant ils m’ont sorti ça ou on avait deux ou trois propositions dans la fiche. On dit voilà, on ne notre village avec ce point de vue, une semaine, ça m’a décontenancé parce que comment avoir une imagination et son temps libre dans tout ? On pose quand même un cadre.
00:34:12:25 – 00:34:34:26
Intervenant 1
Mais je sais que tu veux dire ouais, c’était possible. Non, pas une. Je vous remercie quand même de ne pas voir du niveau divertissement et de faire encore appel à la personne humaine. Et on fait ça pour la santé, donc un projet de passé. Je suis content du résultat quand même, mais c’était pas un challenge pour moi.
00:34:34:28 – 00:34:57:04
Intervenant 3
Mais je voulais quand même dire que en fait ça c’est pour ceux qui nous écoutent. C’est vrai que l’illustration commerciale et je pense quand même l’illustration de manière générale, c’est quand même un métier où il faut savoir s’adapter. Et quand on dit s’adapter, ça veut pas dire s’oublier, mais justement c’est de trouver un moyen de pas s’oublier mais de s’épanouir en faisant quelque chose qui à première vue nous botte pas trop, nous inspire pas trop.
00:34:57:04 – 00:35:17:14
Intervenant 3
Mais de trouver un moyen justement de prendre du plaisir, de mettre sa patte etc etc. Et c’est pas forcément facile des fois. Moi ça m’est arrivé, il y a eu des projets où ça m’était arrivé une ou deux fois dans mon activité où vraiment ben l’inspiration n’était pas au rendez vous et du coup j’ai fait du scolaire quoi, on va dire.
00:35:17:16 – 00:35:39:00
Intervenant 3
Mais en plus de ça, j’imagine que oui, quand on te propose un truc avec l’intelligence artificielle, c’est encore plus difficile de mettre son grain de sel quoi. J’ai envie de dire donc. Mais bon, je pense que c’est toujours possible, ça permet ça, il y a des contraintes plus rigoureuses, on va dire, est plus strict, mais c’est toujours essayer de mettre cette touche d’originalité et sa patte quoi.
00:35:39:00 – 00:35:44:21
Intervenant 3
C’est je pense que c’est essentiel pour s’épanouir en tant que créatif de manière générale, quoi.
00:35:44:23 – 00:36:16:09
Intervenant 1
C’est toujours cet entre deux, le client qui manque, quelque chose qui nous impose quand même quelque chose qu’on va lui apporter, comment on va le lui ? Comment on va mettre en forme son idée de communiquer ? On est tout en gardant quand même orienté l’échange complètement entre nous, assez stricte. Mais je trouve quand même que l’illustration ce n’est chouette que ce qu’on peut aller sur plein de versants différents.
00:36:16:11 – 00:36:47:06
Intervenant 1
Il y a des contrats où j’ai appris énormément de choses et je ne suis pas non plus une pépinière. Mais j’ai appris à dessiner des pierres. Uniquement une comment on coupe les pieds de nous quand j’étais avant d’avoir un empilement dans mon jardin. Le département univers parisien, c’est une, pas une Jamendo, une image. Mais en interne, il y a quand même réussi à intégrer mon style ou bien de faire des liens.
00:36:47:08 – 00:37:12:06
Intervenant 3
Et du coup aussi, du point de vue du client, je trouve que un illustrateur il va ramener un petit peu de magie aussi. Passe un peu. Le but parce que bon, évidemment, on peut faire appel à l’intelligence artificielle. Il y en a qui vont faire ça et c’est les mêmes qu’utiliser des photos gratos, ce qui est piqué sur le net ou quoi, qui va acheter une photo vite fait histoire de dire il y en aura toujours, il y en a toujours eux maintenant c’est l’intelligence artificielle, il y en aura toujours, ça c’est voilà, Il faut pas s’inquiéter par rapport à ça.
00:37:12:09 – 00:37:30:06
Intervenant 3
Moi je pars du principe, je dérive, c’est pas ce que je voulais dire, mais je pars du principe. Si vous posez la question, je parle aux gens qui écoutent que ça. Il y aura toujours des clients comme ça et que c’est pas une perte en soi puisque c’est des clients qui ont jamais voulu mettre la main au portefeuille pour faire appel à un vrai illustrateur, un vrai artiste.
00:37:30:09 – 00:37:50:27
Intervenant 3
Un artiste aura toujours sa patte, aura toujours quelque chose à apporter. Et il y a encore des clients qui, qui existent, qui ont envie de ça, qui ont envie d’avoir un travail avec un être humain, avec un vrai artiste. Justement pour la voilà la valeur ajoutée quoi. On peut, on ajoute avec notre, notre regard, notre sensibilité.
00:37:51:00 – 00:38:01:19
Intervenant 1
Notre âme. C’est également un sentiment d’une certaine indépendance en vêtement, une illustration donc. Toujours pas. Tout simplement en augmentant.
00:38:01:22 – 00:38:27:10
Intervenant 3
D’un point de vue client. Nous on leur apporte un peu de magie aussi, on leur donne un peu de paillettes avec notre petite touche justement, comme tu disais, notre supplément d’âme. Donc c’est je pense qu’on a les illustrateurs encore non ? Une longue vie dans le futur parce que je sais qu’il y a plein de gens à qui ça fait peur, mais je pense qu’on a toujours peur de toutes les technologies qui ont pu arriver au fil du temps.
00:38:27:12 – 00:38:44:28
Intervenant 3
Je pense que ça peut être un super outil. D’ailleurs, l’intelligence artificielle, une fois qu’on l’a créée en main. J’en ai parlé avec Florent Gendre. En fait, elle utilise pour faire des croquis, pour faire, pour trouver un angle de photo de vue qu’on trouve pas, qui est un peu particulier. Donc je pense que tant qu’on s’en sert comme ça, ça peut être un outil qui est positif pour nous.
00:38:44:29 – 00:38:50:07
Intervenant 3
Les illustrateurs. Et je pense que c’est comme ça qu’il faut essayer de le voir parce que, en face d’un truc.
00:38:50:10 – 00:39:16:29
Intervenant 1
Je pense que la distance a toujours existé. On se dit que la photographie, même la peinture, sans que l’on parte, nourrit bêtement des artistes dans Boulimie, je pense que l’on vit encore l’illustration en dessin et surtout à l’humain où les jeunes générations se rendent compte de ça. On dit que l’humain a une. Primordiale par rapport à l’artiste machine.
00:39:17:02 – 00:39:36:02
Intervenant 3
Mais je pense qu’il y a beaucoup de gens qui en doutent, qui se disent, qui pensent que tous les clients, le seul intérêt, le monde, le seul objectif des clients, c’est le profit, le fait de payer moins cher, etc. Ça, c’est vraiment une question d’état d’esprit à changer et à parce que tout le monde n’est pas comme certains.
00:39:36:05 – 00:39:54:01
Intervenant 1
Voilà, maintenant il y a aussi moi. Quelqu’un a pas mal de clients qui mettent aussi en avant une artiste, une artiste, des gens, un là, le département, la Charente Maritime, une station, pas un magasin. Et à chaque fois, ils veulent mettre en lumière un artiste de la région.
00:39:54:03 – 00:40:05:28
Intervenant 3
Donc tu nous a parlé un petit peu de ton parcours, etc. Est ce que tu peux nous expliquer un petit peu, selon toi, quelles sont les méthodes qui t’ont permis de développer et faire décoller ton activité d’illustratrice ?
00:40:06:00 – 00:40:50:29
Intervenant 1
Pour moi, la première étape, c’est quand même de regagner son look, même si le look, pour moi, il est en perpétuel perpétuellement évolution. Mais déjà à partir de ça me permet à peine de continuer à voir du contenu. Un Son site internet éventuellement. Au niveau intuition, je suis persuadé qu’il y a un très important, très bon site internet pour un traitement sérieux en quête d’une entreprise en ce moment un petit peu important shopping quasiment d’Instagram, stabilisation où même pour faire son site internet, une produit principal, c’est un peu pareil.
00:40:51:01 – 00:41:20:18
Intervenant 1
Juste un stand intéressant donc pour montrer son look, un peu son identité comme son look. Et ensuite ? Comme confiance en soi avant de se lancer. C’est quelque chose de passionnant qui se limite actuellement et qui a une énorme mine. Je pense que son on y est pour quelque chose. On a vite fait de se lier en engageant réseaux sociaux en relation humaine.
00:41:20:18 – 00:41:35:18
Intervenant 1
C’est une mission d’enseignement. Sinon ça, moi j’y arriverai jamais. On se dépêche, on parle mur nous même, nous regardons autour de soi. Et puis penser aux petits et ne pas foncer tête baissée, Nous y allons. Il y a.
00:41:35:18 – 00:41:37:03
Intervenant 3
Des œillères quand.
00:41:37:06 – 00:42:06:28
Intervenant 1
On a rien à perdre et prendre confiance en son travail aussi, on ne convainc pas. Minime parce que tu pas investis et il y en a plein qui n’arrivent pas à avoir une passion ce ce ils n’ont pas pu nous c’est pas super facile, mais vous dire aussi un humain qui a mis de la dimension dans l’engagement et un peu.
00:42:07:00 – 00:42:31:16
Intervenant 1
Moins qui se tient sur 1 million ou 50 sur 1 million. Je prends, moi j’apprends encore et je suis encore une étape dans cinq ans, dans une sorte, dans une nouvelle tendance, dans l’état Punching. Chambers Mais en fait, tout le monde y passe doucement, même si j’ai des projets, même si j’en c’est une toute sa vie. Pendant un temps, c’est vrai.
00:42:31:18 – 00:42:52:12
Intervenant 3
Je ne sais pas ce que tu en penses, mais là, pour préparer un épisode de podcast, je reparcourir vraiment mon parcours de mes débuts et je me suis rendu compte que les deux trois premières années, j’avais fait un gap énorme en termes de dessin. Parce que justement, le fait de se professionnaliser comme tu disais tout à l’heure, le fait de vraiment prendre son activité au sérieux, ça permet de progresser énormément.
00:42:52:12 – 00:42:53:26
Intervenant 3
Je trouve.
00:42:53:28 – 00:43:19:27
Intervenant 1
Oui, c’est une activité à temps plein. En fait, sur une semaine, ce sont les premières années je pense. Son medium, c’est dans la confiance en soi. Quand on commence à avoir des comptes rendus, à bientôt. On a aussi un panneau sérieux. Il aura jamais échappé aux tentations multiples également le manque de motivation et en même temps de. Peur en.
00:43:20:00 – 00:43:38:05
Intervenant 1
Alors oui, il m’a répondu je suis 1 million à consommer le mécontentement. Je travaille bien, je vais y arriver à chaque pas. Passe moi chaque fois je me dis pas. Mais je pense que parce que quand tu avances dans salaire, vous êtes pas en complément quand même dans son armée.
00:43:38:07 – 00:43:51:09
Intervenant 1
Cinq Les premières années de son. Il y a beaucoup de choses qui se mettent en place. Il y a aussi clients. Une peur qui m’engage quand même. J’ai moins peur du coup.
00:43:51:09 – 00:43:57:12
Intervenant 3
C’est vrai qu’au début, il faut faire un petit peu semblant, ne pas avoir peur et avancer quand même.
00:43:57:15 – 00:44:07:09
Intervenant 1
Et oui, surtout quand on sent le devis ou la peinture ou marque numéro deux.
00:44:07:12 – 00:44:18:15
Intervenant 3
Ah ouais mais ça ensemble. Sauf qu’à te mentir, à trouver un autre numéro, je sais pas, avec moi, mais je pense que j’ai dû faire ça aussi. Je me rappelle plus. Mais oui.
00:44:18:18 – 00:44:26:15
Intervenant 1
Oui oui, oui. Niveau de fierté par rapport.
00:44:26:17 – 00:44:30:18
Intervenant 1
Ça fait partie du jeu. Un L’assentiment comme saint Laurent.
00:44:30:20 – 00:44:32:24
Intervenant 3
Ben oui, oui c’est vrai.
00:44:32:27 – 00:44:54:16
Intervenant 1
Il y a un conseil que je trouve c’est un podcast où je vais mieux n’est parfait, mais pas chez moi qui m’a servi de base pendant toute une pensée de base. Contentez vous, regardez à l’échelle locale. Est ce qu’on a tendance à faire ça quand on commence ? Est ce que ça rassure doucement ? C’est évident. C’est connu, les amis dans la minute qui passe, sont des gens qu’on peut rencontrer.
00:44:54:18 – 00:45:18:24
Intervenant 1
En fait, tout le monde s’entend là, monsieur. Puis quand on parle longuement, on retient plutôt bien qu’il ne porte pas une. Souvent il entend pas, on ne sait pas. Ce ne sont de chez soi, même si on incarne quelque chose, ça nous pétillance. Néanmoins, il nous parle avec des gens l’incarnant à l’unisson face à nous. Tant mieux, ils ne sont pas se des barrières.
00:45:18:29 – 00:45:20:05
Intervenant 1
Je pense.
00:45:20:07 – 00:45:44:21
Intervenant 3
Je suis tout à fait d’accord avec ça. Et en plus. Bon bah par expérience, moi je dirais que si on veut vraiment vivre correctement, ben on va vite restreint en travaillant avec des gens de façon régionale ou quoi. Déjà en voyant de façon nationale, voire internationale. Et je rajouterai aussi que même si on ne parle pas anglais aujourd’hui, il y a Google trad, il y a plein d’outils adaptés.
00:45:44:23 – 00:45:55:13
Intervenant 3
Voilà, vous rentrez votre le mail de la personne d’Antoine DPT, il vous répond Enfin voilà, on a quand même pas mal d’outils qui permettent de communiquer par mail sans avoir besoin en vrai d’être bilingue. Donc profitons en.
00:45:55:13 – 00:46:03:03
Intervenant 1
Pas Une maison, une maman, un bébé nous manque, nos amis c’est possible aujourd’hui. Donc on se demande si c’est pas en anglais.
00:46:03:05 – 00:46:08:20
Intervenant 3
Moi j’ai bossé avec des allemands et des chinois, donc franchement ça a été compliqué. On parle en anglais mais faut.
00:46:08:21 – 00:46:10:03
Intervenant 1
Apprendre toutes les langues.
00:46:10:05 – 00:46:18:09
Intervenant 3
Non, on ne peut pas apprendre toutes les langues, mais c’est pas une barrière quoi. Sur le net en tout cas on a des métiers artistiques, donc l’art ça n’a pas de barrière en fait. Donc c’est ça.
00:46:18:09 – 00:46:23:28
Intervenant 1
Qui est question. C’est une chance. Internet, une langue que mondialiste apparemment on peut.
00:46:24:00 – 00:46:51:13
Intervenant 3
Mais je te conseille d’écouter l’épisode avec Florent Gendre qui est pas encore sorti. C’est l’épisode 90 fois et il n’est pas encore sorti mais il va bientôt sortir. C’est une illustratrice qui a fait qui a commencé à travailler dans l’illustration dans les années 90. Donc elle sait. Il y et c’est hyper intéressant justement. Emmanuel Passepoil et est ce que tu peux nous parler du projet le plus fou que tu aies eu l’occasion de réaliser ?
00:46:51:13 – 00:46:55:17
Intervenant 3
Le plus fou, le plus chouette ? Un projet qui a marqué.
00:46:55:20 – 00:47:36:12
Intervenant 1
Je peux en dire deux. Point un Le plus fou parce que je m’y attendais pas. Et Dieu sait, on peut en être de même pour Télérama. Mais oui, non seulement nous en avons je me suis. J’avais jamais remis brique comme ça. En fait, c’est la troisième partie, on y pense, mais oh non, ça marchera jamais ou difficilement. Ça m’a appelé en acronyme même du nom Gigimon de C’est pas cochon, une sonorité en début de milieu.
00:47:36:15 – 00:48:02:02
Intervenant 1
Vraiment, Je veux une pipe en chantant moi. Peut être grinçant si on comprend bien sûr. Donc en plus, dans le scénario, il est suivi un petit peu animé, il est pas abandonné, mais attention à l’union. Donc ça quand même d’abandonner le moi et moi on s’est arraché la noix, moi en smoking, j’ai pris Bonjour, mon manteau a onze ans sont arrivés, j’arrête.
00:48:02:02 – 00:48:28:27
Intervenant 1
Euh non, là c’est vraiment continue. En fait, c’est un vieux personnel, peut être pas le même nom qu’à un bon moment et un projet dans lequel je me suis mis le curseur. Une famille où s’éclater, c’est selon ce que tu m’as mis en cinéma nature environnement. Bien l’année dernière, on est bien entendu le champagne. Parier sur l’antichambre installé pour parler.
00:48:28:27 – 00:49:11:17
Intervenant 1
On se met à chanter ensemble ma passion du cinéma, mon engagement pour l’écologie. Un curé qui est hyper sympa, qui s’est très bien passé avec la personne avec qui on dit je travaille une personne et j’ai vraiment été content. Mais ne vous en faites pas, une émission valorisant nos valeurs estivales et de voir qui changeront sûrement on là dans la semaine où tout le monde la peine le dimanche, une semaine, un mois juste pour cet instant, en petit et j’espère aller à celui de novembre prochain pour vivre la même chose.
00:49:11:19 – 00:49:30:16
Intervenant 3
Ouais ben ouais, tu m’étonnes, ça c’est sur un peu la consécration de voir son administration en grand dans un endroit public et tout le monde va voir. C’est toujours hyper chouette. Je vais pas t’arrêter, mais je voulais juste rebondir sur ce que tu disais par rapport à Télérama. Tu disais que t’avais envoyé plusieurs fois ton book. Est ce que tu peux nous dire à quelle fréquence tu leur a envoyé ton book ?
00:49:30:18 – 00:49:53:18
Intervenant 1
En général, je pense qu’il y a un temps comme un paradigme où on considère qu’on n’a pas forcément. Nous, on n’a pas pris en considération ou même, je vous renvoie un peu quand même six mois, ok ? Bon, un coucou à Monsieur libre penseur, jamais nous en avons parlé avec vous ou ils sont jamais à l’unisson dans son alignement.
00:49:53:19 – 00:50:21:09
Intervenant 1
Mais justement. Bon, maintenant non, y’a une partie du travail avec les personnes, une gouvernance avec de la troisième point. C’est pas rare que nous. Contactent trois fois une poule à ce moment. Pas une allusion, pas une pas en seconde, mais pas pour la troisième fois qu’il n’y pense absolument. Parfois, l’humain passe son temps, parfois le meilleur et nous pas au bon moment.
00:50:21:09 – 00:50:43:22
Intervenant 1
C’est pas un rendez vous du soir avant Une dame noire ou un lundi matin pendant un mois. Journal d’une fille de Paris, membre d’une longue. Non seulement ça, c’est des choses que j’ai appris après, mais moi, la longue marche en suis quand même encore une porte à peine complément suspendue aidera les gens. Il y a des gens qui ont le pont.
00:50:43:25 – 00:50:47:10
Intervenant 1
Je suis vraiment désolé. Je ne considère pas.
00:50:47:12 – 00:50:49:03
Intervenant 3
De mignon pas C’est gentil. Quand il répond.
00:50:49:03 – 00:50:57:16
Intervenant 1
Non papy, ça récompense un bon instinct. Vous n’en aurez une chute par mail.
00:50:57:18 – 00:51:22:05
Intervenant 3
Mais après je trouve que c’est pas non plus un rythme parfait. Tous les six mois ça va, c’est. Je pense qu’il en voit tellement les directeurs artistiques qu’ils ont le temps d’oublier. Mais du coup, ce que je voulais dire aussi parce que ça m’a fait penser à ça en t’écoutant, c’est que parfois on est juste là au bon moment, au moment où un administrateur vient de planter ou annonce un nouveau sujet qui vient d’arriver sur la table.
00:51:22:05 – 00:51:49:01
Intervenant 3
Et là, toi t’arrives avec ton truc, c’est OK, viens. Et moi je sais que j’ai eu des projets comme ça, un petit peu par hasard. Au début, dans des magazines ou voilà où je vois qu’une des premières missions d’illustrations pour un magazine, c’est un peu ça. Et après aussi avec mon agent Collagène, quand quand je suis arrivé dans l’agence, au début j’avais que les projets d’illustratrice que je t’avais dit non il y a au début, voilà, je reprenais un petit peu ce qu’on voulait bien me donner copie petit à petit.
00:51:49:04 – 00:51:54:00
Intervenant 3
Voilà, j’ai fait mon choix, mais parfois ça commence comme ça quoi.
00:51:54:00 – 00:52:01:04
Intervenant 1
Donc il faut savoir une chose simple point de vue 1.1. Par contre, potentiellement le moment plus.
00:52:01:10 – 00:52:14:09
Intervenant 3
Voilà, Donc il ne faut pas, il ne faut pas se vexer, il faut s’adapter. Et puis et puis voilà. Et puis parfois la chance peut vous sourire aussi comme ça et et après vous vous embarquez dans une aventure, dans l’illustration.
00:52:14:11 – 00:52:36:29
Intervenant 1
A un conte sur le comment l’agence a. L’avantage de base du bon dans son démarchage qui s’est amélioré. C’est un peu fastidieux en il faut toujours soutenir un peu, ça ne va pas au mieux à fond dans ce projet, on peut quand même penser à plein empattement. On on fait toujours dans la semaine minimum trois nuits, au moins trois heures juste pour ça.
00:52:37:01 – 00:52:50:20
Intervenant 3
Ouais, je suis d’accord, mais c’est vrai que oui, on n’a pas toujours le temps. Puis c’est pas un truc le truc le plus agréable à faire, mais effectivement, c’est un peu comme une roue, c’est à dire coach, moi je vois ça comme ça aussi, donc on l’alimente un petit peu, on met un peu, voilà, ça, ça continue à tourner.
00:52:50:20 – 00:53:08:16
Intervenant 3
Mais le jour où on arrête, bah ça se grippe au bout d’un moment, même si on a des commandes régulièrement, au bout d’un moment, ça se tarit pas forcément. Donc donc c’est bien de toujours alimenter le je sais pas comment j’ai plus d’images là en tête.
00:53:08:19 – 00:53:24:16
Intervenant 1
Il y a un contenu en lui même si en plus on a le projet qui nous amène des problèmes soumis par son organe, le bouche à oreille nous concernant. Une journée en binôme sur Mieux, il faut quand même continuer à aller marcher.
00:53:24:18 – 00:53:40:07
Intervenant 3
Ouais. Ah oui, c’est ça que je voulais dire aussi, c’est que moi même, avec mes agents, j’ai toujours continué à démarcher, j’ai toujours continué à communiquer, etc. Comme si j’étais toute seule. Parce que je considère qu’en fait, en tant que. Et en fait j’ai bien fait parce que au final, ce que je fais c’est plus du tout l’illustration.
00:53:40:07 – 00:53:57:25
Intervenant 3
Et heureusement que j’ai continué à développer ma notoriété parce que ça m’a permis après de faire autre chose et on sait jamais de quoi l’avenir sera fait. Donc je pense qu’il faut jamais mettre tout ce temps, c’est tellement important. Je pense qu’il faut garder tout ça dans les mains de quelqu’un d’autre. Parce que je dis ça, parce que je sais que certaines personnes détestent communiquer, préfèrent se concentrer sur le dessin, etc.
00:53:57:27 – 00:54:15:09
Intervenant 3
Et moi j’ai envie de dire pas pareil que pour les projets qui ne sont pas hyper sexy. Il faut trouver un moyen de s’éclater dans sa communication. Parce que dans le développement de son entreprise, parce que c’est personne, personne ne peut le faire, personne ne peut le faire mieux que vous et il ne faut pas faire l’impasse. C’est dangereux de la passion.
00:54:15:10 – 00:54:24:15
Intervenant 1
Par contre, je crois que ça dépend des contrats avec les agents. Je ne sais pas si on a le droit des marchés tous les avant et selon les compagnies, ça dépend.
00:54:24:15 – 00:54:44:17
Intervenant 3
Effectivement ça se négocie, toutes les clauses se négocient quoi. Donc faut voir avec les agents avec. Mais en tout cas, si vous ne pouvez pas pour prospecter, vous pouvez toujours communiquer entre vous, rendre visible sur la toile, etc etc. Voilà, il y a toujours moyen de développer votre notoriété et de continuer à développer tout ça de votre côté.
00:54:44:17 – 00:54:48:10
Intervenant 3
Faut pas tout laisser à quelqu’un d’autre quoi.
00:54:48:12 – 00:54:50:19
Intervenant 1
Mais son potentiel pour.
00:54:50:21 – 00:55:08:15
Intervenant 3
Moi parce que je pense on aussi. Ouais c’est ça que je voulais dire aussi, c’est qu’en tant qu’artiste, on a aussi une marque qu’on peut et. Et à l’avenir peut être on a envie de faire autre chose et on n’est pas juste un salarié quoi, on est. Voilà. Donc ça c’est hyper important de prendre en compte aussi.
00:55:08:18 – 00:55:12:04
Intervenant 1
On a toutes les casquettes pendant la communication, ça fait parti.
00:55:12:07 – 00:55:19:20
Intervenant 3
Tout à fait. Ouais, je suis d’accord. Est ce qu’il y a quelque chose dont on aurait pas parlé et que t’aurais souhaité aborder ?
00:55:19:23 – 00:55:54:12
Intervenant 1
Je dirais que c’est important quand tu parles de étapes et nous la démarche, pourquoi c’est important d’avoir un fichier qui vous trace du contenu, mais où ? Les clients qu’on a démarché dans les différents secteurs. Moi j’ai un fichier avec plusieurs onglets, avec presse, avec. Des services publics, une commune, etc. Vous. Ensuite, on s’est mis au niveau culturel. Euh.
00:55:54:15 – 00:55:59:16
Intervenant 1
Mais à chaque fois, un manager démarcher telle date a relancé. Pendant les rappels.
00:55:59:19 – 00:56:03:09
Intervenant 3
On s’est dit qu’il y avait un Google sheet dans la formation. Je sais pas si tu avais fait gaffe.
00:56:03:12 – 00:56:24:03
Intervenant 1
À ce qu’on dit. Je pense qu’on est desservi. Après, je l’avais mis à ma sauce, même une sans que je n’en ai pas envie. Son terme c’est banalisé en règle ça. On passe plus de ce genre d’entreprise avec la mienne. La démarche, pour moi, c’est un outil comme ceux qui sont importants en numérique. En ce moment crucial.
00:56:24:06 – 00:56:36:02
Intervenant 3
Bah c’est vrai qu’en plus dans la prospection, il faut faire gaffe parce que je sais pas toi, mais moi au début j’étais pas très organisé parce que je veux, voilà, j’aime pas. Et ça m’est arrivé d’appuyer, d’appeler parce que j’appelais aussi deux fois la même personne.
00:56:36:05 – 00:56:37:03
Intervenant 1
Oui.
00:56:37:06 – 00:56:44:10
Intervenant 3
La honte quoi. Franchement, la honte quand après on va faire ça mieux, on va mettre les dates, on va mettre les trucs et tout. Parce que.
00:56:44:12 – 00:56:45:15
Intervenant 1
Ouais, un sérieux qui n’a pas.
00:56:45:15 – 00:56:47:10
Intervenant 3
Servi, non bu quoi.
00:56:47:12 – 00:56:58:21
Intervenant 1
Un Puis aussi la personne qu’on a eu avec qui on a eu contact. Parce que ici, les gens parfois changent de boîte de change de magasin pour une seule personne sont importants, le mien.
00:56:58:24 – 00:56:59:18
Intervenant 3
Du coup, ils changent de mail.
00:56:59:18 – 00:57:06:08
Intervenant 1
Souvent on échange de mail, mais on parle encore une fois la même personne. On est pas dans la même entreprise.
00:57:06:11 – 00:57:14:02
Intervenant 3
Oui oui, Du coup ouais, c’est plus difficile de se rendre compte. Mais oui, après celle ci on l’a au téléphone ou des trucs comme ça.
00:57:14:04 – 00:57:15:26
Intervenant 1
D’une organisation tout ça.
00:57:15:28 – 00:57:22:04
Intervenant 3
On a oui, clairement. Est ce que tu as des projets à venir là ? Des choses que tu voudrais nous partager ?
00:57:22:06 – 00:57:53:16
Intervenant 1
Une machine sur son temps change son stock estival, parlant une chemise noire, une affiche, un petit élu local au calme dans une claque. Enfin, pas une affiche, non. Le cheval de pansement. On a l’impression, suivant un camion marchand, une route ou. Pfiou ! Ce partenariat avec le nouveau magazine de la métropole Besançon en Marche essaye d’avoir trois projets en même temps, mis ensemble comme un immense.
00:57:53:16 – 00:57:59:15
Intervenant 1
J’ai du mal à m’en sortir en trois ou Sylvain trois, c’est déjà pas mal.
00:57:59:17 – 00:58:02:18
Intervenant 3
Mais c’est un bon équilibre. Enfin, c’est ton équilibre que tu t’es.
00:58:02:20 – 00:58:33:15
Intervenant 1
Mis là et puis que je fais un puis quelques temps mais qui complète mon activité, se range du je fais un blog éducation image, une qui mêle arts plastiques, une cinéma. Bibliothèque, un cinéma ou MJC. Souvent les choses ont permis de continuer le contact avec les enfants. Transmettre mon statut d’artiste aux enfants en une seule mission. J’essaye de ne pas faire brûler un tout petit peu.
00:58:33:21 – 00:58:44:25
Intervenant 1
J’ai pas mal de bacs où je me range mes sentiments. Je me. Pendant une nouvelle histoire, linogravure, mais une semaine d’animation pas bien.
00:58:44:26 – 00:58:49:02
Intervenant 3
Ben oui, c’est cool de vous quitter, Gardez quand même un pied dans la transmission justement.
00:58:49:05 – 00:58:51:04
Intervenant 1
-5.
00:58:51:07 – 00:59:12:04
Intervenant 3
Bon bah écoute, c’était hyper intéressant tout ça. Toute cette petite discussion. Ben merci encore. Merci pour ton temps, vraiment. Et merci pour tout, pour cet échange parce que j’ai appris des choses moi, sur l’univers de la culture que je connais un peu moins. En tout cas, je te remercie d’avoir pris le temps alors avec ce grand soleil de répondre à mes questions.
00:59:12:07 – 00:59:17:07
Intervenant 1
Ou trouver des questions techniques. Mais bien maintenant.
00:59:17:12 – 00:59:27:16
Intervenant 3
Les auditeurs et les spectateurs comme on dit, les gens qui vont écouter ou voir cet épisode ne devrait pas trop voir tout ça puisque.
00:59:27:18 – 00:59:29:21
Intervenant 1
Il faut qu’on sache lire bientôt.
00:59:29:21 – 00:59:35:26
Intervenant 3
Alors oui, à bientôt et hâte de suivre, de continuer à suivre tes aventures sur le net et sur les réseaux.
00:59:35:29 – 00:59:38:17
Intervenant 1
Bye bye bye !
00:59:38:20 – 01:00:04:29
Intervenant 2
J’ai adoré cet échange avec Ariane et j’aime beaucoup sa vision engagée administration et et aussi la patience dont elle a su faire preuve à ses débuts. Par exemple, son anecdote au sujet d’une cliente qu’elle avait prospecté et qui l’a recontacté deux trois ans après. Je pense que c’est c’est hyper important d’entendre ça pour vous. Si vous débutez, parce que c’est très important de comprendre que quand on a son compte, il faut voir sur le long terme.
01:00:04:29 – 01:00:22:15
Intervenant 2
Et c’est justement ce que fait Ariane être patient quand on prospecte, c’est primordial parce qu’un client peut très bien ne pas répondre sur le moment, mais garder notre profil sous le coude jusqu’au jour où il en aura besoin. En fait, la prospection, c’est un peu comme planter des graines, et plus on en plante, plus on a de chances de voir nos efforts porter leurs fruits.
01:00:22:17 – 01:00:39:19
Intervenant 2
Donc il faut toujours continuer à prospecter puisqu’on ne sait jamais quand est ce qu’on risque d’être appelé sur un projet. Je suis contente aussi qu’elle ait parlé du fait que la période du coït lui avait permis de ralentir un peu et de prendre le temps de bien réfléchir à ses valeurs et à ce qu’elle souhaitait transmettre à travers son travail.
01:00:39:21 – 01:01:04:29
Intervenant 2
C’est quelque chose que tout le monde ne pense pas à faire ou ne prend pas le temps de faire. Mais qui peut vraiment faire gagner en clarté et faire qu’on se sente plus alignée avec la clientèle qu’on attire ? Je suis heureuse d’avoir pu vous partager l’histoire de rien aujourd’hui, puisque rien, en partant d’un métier qui ne lui convenait pas dans l’éducation nationale, a réussi à s’échapper pour s’épanouir dans le domaine de l’illustration avec tout un tas de clients qui l’avaient rêvée quand elle s’est lancée.
01:01:05:02 – 01:01:24:12
Intervenant 2
Aujourd’hui, sa vie a changé, elle est épanouie, elle peut travailler n’importe où. Voilà donc j’espère que cet épisode vous a plu. J’espère qu’il vous aura inspiré aussi. En tout cas, merci de l’avoir écouté. Je vous souhaite une très belle journée, une très belle soirée où que vous soyez et je vous dis à la semaine prochaine pour un prochain épisode en podcast.
01:01:24:14 – 01:01:26:03
Intervenant 2
Prenez soin de vous ! Bye bye !
SOUTENEZ LE PODCAST
L’avis de la semaine
Le podcast pour oser se lancer dans l’illustration
⭐⭐⭐⭐⭐
L’envie est là mais le doute s’est installé… manque de confiance en soi, manque de temps, peur de se lancer, peur de ne pas y arriver, peur de l’inconnue,. Il y a tant de gens talentueux, avons-nous vraiment notre place pour exercer cette passion qui nous anime : l’illustration ? Dans « Illustration: le podcast », Ëlodie nous guide pas à pas à l’aide d’exemples concrets et de son expérience personnelle. Alors si ce métier vous interpelle, ses précieux conseils sont à porté d’écoute… Ce podcast pourrait bien faire de votre rêve une réalité !!!
— Lilylove5
The Comments
PinkyPooh
Merci Oriane et Ëlodie pour cet interview inspirant et motivant. J’ai partagé aussi dans mon entourage pour avoir votre éclairage de grandes soeurs. <3